De nombreuses accusations ont été portées contre un homme de 38 ans, de la Première Nation d'Elsipogtog, dont des accusations pour agression sexuelle et séquestration.
Le 18 septembre, vers 7 h, des membres des détachements d'Elsipogtog et de Richibucto de la GRC se sont rendus sur la rue Main après avoir été informés d'un incident survenu dans une résidence. À leur arrivée, il y avait deux femmes dans la maison, et l'une d'elles était blessée. Cette dernière a été transportée à l'hôpital. Le suspect avait pris la fuite à pied dans les bois avant l'arrivée des policiers.
La Section des chiens policiers a participé aux recherches afin de trouver l'homme. Peu de temps après, la police a procédé à son arrestation dans les bois près de la résidence. L'homme avait en sa possession de la drogue, un bâton de base-ball et une machette, qui ont été saisis par la police.
Le 19 septembre, Jonathan Joseph Milliea a comparu en cour provinciale à Moncton, par téléphone, et il a été accusé d'agression sexuelle. Il a été mis en garde à vue et a comparu de nouveau en cour le 22 septembre. Il fait maintenant face aux accusations suivantes :
- Séquestration (deux chefs d'accusation)
- Agression sexuelle armée
- Agression armée
- Menaces de mort (deux chefs d'accusation)
- Possession de méthamphétamine dans le but d'en faire le trafic
Jonathan Joseph Milliea est toujours en garde à vue, et il devra de nouveau comparaître en cour le 23 septembre pour son enquête sur le cautionnement.
L'enquête se poursuit.